Rencontre avec Annabelle, consultante en communication digitale
Annabelle et moi revenons sur notre collaboration et son travail de communication pour le magazine Hémisphère son. Un projet en résonance avec ses passions et engagements professionnels.
Annabelle en quelques mots
« Valoriser les artistes me tient très à cœur professionnellement. »
— Annabelle, Consultante en communication
Notre collaboration
Annabelle est membre de mon collectif depuis 2021.
Années de collaboration : 3 ans
Années d’expérience : 14 ans
Projets communs : 4 projets
Missions à son actif : + 50 missions
Notre échange
Annabelle, peux-tu nous parler un peu de toi et de ton parcours professionnel ?
Annabelle : j’ai suivi un cursus universitaire dans le domaine de la communication qui m’a conduit à intégrer le service “com” du Centre national des arts plastiques. Cette institution, qui dépend du Ministère de la Culture, s’est donné pour mission de soutenir et de promouvoir la création contemporaine dans sa plus grande diversité. J’ai toujours eu un fort penchant pour les projets et les clients issus du monde de la culture, de l’art contemporain et du patrimoine, donc c’était une très belle expérience. Par la suite, en 2019, j’ai décidé de me mettre à mon compte en tant que consultante indépendante.
Tous les consultants en communication que j’ai rencontrés avaient des profils très différents. Quels sont tes champs de compétences ?
Annabelle : C’est simple, je propose à mes clients un accompagnement complet de leurs projets de communication. Je peux concevoir leur stratégie (leur identité de marque, leur plan de communication) et la mettre en œuvre dans la foulée (en produisant du contenu, pilotant et déployant leur plan de communication). Je fais en sorte que tout s’aligne parfaitement pour mes clients afin que nous atteignons les objectifs que nous nous sommes fixés. En un sens, on pourrait dire que j’allie le cerveau et les muscles !
Ta polyvalence est en effet remarquable. Hémisphère son est le premier projet sur lequel je t’ai missionné, tu te rappelles ?
Annabelle : Oui, nous nous sommes rencontrés en septembre 2021, je m’en souviens très bien. Le contact avec toi est immédiatement bien passé. J’ai aimé que tu cernes assez vite mes compétences et mes appétences. Je me rappelle que tu es revenu assez rapidement vers moi avec Hémisphère son et j’ai tout de suite accroché. Le média de Sandrine Maricot Despretz faisait écho à mes centres d’intérêt.
Le casting me paraissait évident compte tenu de ta passion pour la musique.
Annabelle : Valoriser les artistes me tient en effet très à cœur professionnellement et c’est exactement la mission d’Hémisphère son. J’étais donc très heureuse d’accompagner Sandrine dans son projet. Je découvrais chaque semaine des musiciens qui m’enchantaient. C’était vraiment gratifiant de mettre au quotidien mes compétences au service de leur promotion auprès du plus grand nombre.
Je suis ravi que tu te sois épanouie sur ce projet. Quelles étaient tes missions quotidiennes ?
Annabelle : A mon arrivée, Sandrine me confie le community management de son magazine. Ma mission est alors de valoriser les articles du média sur les réseaux sociaux (Facebook et Instagram). Au fil du temps et à mesure que la confiance avec Sandrine et son équipe s’installe, le périmètre de ma mission s’élargit pour englober la communication tout entière du magazine. Au final, j’ai conçu sa stratégie de communication, développé des actions pour développer la notoriété de la marque, et monté plusieurs dossiers de partenariats.
C’était en effet très gratifiant de voir le projet gagner en ampleur. Comment as-tu trouvé la collaboration avec Sandrine Marico Despretz ?
Annabelle : Extrêmement enrichissante, franchement. A posteriori, j’ai vraiment l’impression d’avoir participé aux côtés de Sandrine à la réalisation d’un projet fédérateur et international, puisque Hémisphère son se décline en espagnol et en anglais. La ligne éditoriale du magazine est vraiment le fruit d’un travail collectif qui a impliqué tous les journalistes et les experts qui entourent Sandrine. Je suis fière d’avoir travaillé sur ce projet. A ma connaissance, il n’y a aucune équivalence à ce jour sur le marché de la musique français.